Ecologie Solutions
RISQUES OGM et MONSANTO
Risques des OGM (Organismes Génétiquement Modifiés)

En 2007, déjà 100 millions d'hectares étaient plantés de cultures OGM, dont 90 % avec des caractéristiques génétiques brevetées par Monsanto ! Les avis sont tranchés sur ce dossier, et il est parfois difficile de se faire une idée juste sur les arguments des "pour" et des "contre".
Suite à un puissant lobbying de la part des firmes, les études suffisantes pour vérifier l'innocuité des OGM n'avaient jamais été menées à cause du principe "d'équivalence en substance" qui établissait qu'un plant transgénique était identique à un plan non modifié, et que donc les expériences sont inutiles.
Consultez utilement la dernière partie de ce dossier consacrée aux insectes génétiquement modifiés.


2 principes devraient cependant prévaloir ; celui de l'investigation et celui de précaution.
Cela veut aussi dire que toute adjonction d'OGM dans les produits qui sont proposés à la consommation doit être clairement indiquée...

Mais au delà des risques sanitaires, les dangers colatéraux des OGM ne sont-ils pas :
- d'imposer un nouvel ordre agricole mondial en assurant l'hégémonie de quelques firmes agro-semencières ?
- de menacer la diversité génétique planétaire ?
- de priver les paysans de leur indépendance et du droit ancestral d'échanger les semences ?

Par contre, quand on censure les documents audiovisuels et les publications consacrées au sujet, on ne peut que se révolter et ne pas faire confiance aux arguments des "pro-OGM"

L'incontournable Monsanto
Mais parler des OGM, c'est avant tout évoquer MONSANTO :
Ce mastodonte de l'agrochimie aux 17.500 salariés, au chiffre d'affaires de 7,5 milliards de dollars en 2007 (dont un milliard de bénéfices) implanté dans 46 pays.
Monsanto se présente sur son site Web comme une "entreprise agricole" dont l'objectif est d'aider les paysans du monde à produire des aliments plus sains.
Dont acte.


Vidéos documentaires sur les OGM
Voici le lien vers un documentaire d'investigation très instructif.
Il a été produit par Canal + mais interdit d'antenne.
(cliquez sur l'image pour le charger et le voir)
Ceux qui n'ont pas le haut débit n'obtiendront que le blocage de leur ordinateur !


Canal + - Ogm Monsanto
durée : 22 minutes
date : 2005
"Le Monde selon Monsanto"
Depuis la chaine ARTE a réalisé une enquête signée Marie-Monique Robin sur les OGM et la firme Monsanto (leader mondial des biotechnologies).
Ses conclusions ne peuvent que faire frémir, et la main-mise mondiale de cette société sur les semences risque d'avoir des conséquences inimaginables encore aujourd'hui, mais ne représente pas le moindre des risques des OGM.
(cliquez sur l'image pour le charger et le voir)


"Le monde selon Monsanto" - Arte
1ére diffusion : mardi 11 mars 2008
Il a fallu trois ans d'enquête à cette journaliste indépendante pour assembler toutes les pièces du puzzle et dresser un portrait accablant de Monsanto, cette multinationationale au superbe slogan : «Nourriture, santé et espoir».

Cette firme a produit nombre des pires produits qui ont empoisonné notre planète et ruiné notre santé : les PCB (polychlorobiphényles, polluants organiques persistants plus connus en France sous le nom de pyralène), des herbicides dévastateurs comme l'agent Orange utilisé pendant la guerre du Vietnam, la dioxyne à l'origine, par exemple, de la catastrophe de Seveso en 1976 en Italie, et le Roundup, cet herbicide si familier aux jardiniers, longtemps vanté comme 'biodégradable et bon pour l'environnement' (ce qui a valu à la firme d'être condamnée aux Etats-Unis puis en France pour publicité mensongère), qui s'est révélé cancérigène. Aujourd'hui, Monsanto est le leader mondial des OGM.

Lauréate du prix Albert-Londres (1995), réalisatrice de nombreux documentaires, Marie-Monique Robin a fouillé sur Internet pour trouver tout les éléments nécessaires à la préparation de son travail car "tout est là et personne ne peut raisonnablement dire qu'on ne savait pas."
Documents déclassifiés, rapports, articles de presse : ce n'est effectivement pas la première fois que la firme créée en 1901 à Saint-Louis dans le Missouri est mise en cause, ses produits hautement controversés et son passé sulfureux.
La journaliste est partie enquêter aux Etats-Unis, en Norvège, en Italie, au Canada, au Mexique, au Paraguay, en Inde... pour, chaque fois, "confronter la parole de Monsanto à la réalité du terrain". Même si la firme du Missouri a toujours refusé de répondre à ses questions.
Stratégie habituelle de cette entreprise envers tout journaliste qui ne lui semble pas favorable à sa cause.
Témoignages inédits, rencontres avec de nombreux veilleurs environnementaux issus du monde des chercheurs qui ont dénonçé les faits avant-coureurs, au prix de graves ennuis personnels ou professionnels...
Pourtant, Monsanto a toujours adopté la même attitude : informée des risques sanitaires et environnementaux induits par ses produits, elle coule une chape de plomb sur les études et se garde d'en informer, comme la loi l'y oblige pourtant, les autorités sanitaires, et ses ouvriers.
Comment des êtres humains peuvent-ils consciemment courir le risque d'empoisonner leurs clients et l'environnement sans penser un instant qu'eux-mêmes ou leurs enfants seront peut-être victimes de ces négligences ?


Septembre 2012 : plus de doutes !
La publication de l'étude de Gilles-Eric Séralini (Professeur à l'université de Caen, expert du gouvernement chargé d'évaluer les risques des OGM) confirme la toxicité sur les rats du maïs NK 603 et suscite de nombreuses réactions.

Après deux ans de travaux menés dans la plus grande confidentialité avec une équipe de chercheurs de son laboratoire de Caen sur 200 rats nourris au maïs transgénique, Séralini démontre que même à faible dose, l'OGM est sérieusement toxique sur les rats.

Consulter l'article présentant les résultats de cette étude.

Résultat d'une alimentation transgénique sur les rats

La position des Verts
Le gouvernement escamote régulièrement le débat sur les OGM alors que 82 % des français y sont hostiles. Pourtant, la droite utilise tous les coups bas institutionnels pour donner satisfaction en catimini aux semenciers.
En effet, le gouvernement n'ira pas au bout du processus de transposition de la directive européenne de 2002 relative aux risques liés à la dissémination des OGM. Pourtant, il s'apprête à publier des décrets destinés à convaincre les instances européennes que la France applique la directive de 2002, tout en donnant satisfaction aux industriels de la semence.
Monsanto a rendu public un courrier confirmant l'imminence de la publication de ces décrets dans une lettre datée du mois de février. Ainsi, en France, les industriels proches du gouvernement disposent d'informations avant les élus du peuple et des citoyens eux-mêmes.
Prétendre conjuguer principe de précaution et profits des semenciers est un mensonge pur et simple. Gouverner contre la volonté des citoyens, et qui plus est, dans leur dos, est un véritable camouflet pour notre démocratie.
Yann Wehrling (15/02/07)

La France mauvaise élève !
La seule culture à vocation commerciale pratiquée sur le territoire français est le maïs « MON 810 » qui a pour caractéristique de résister aux attaques de certains insectes ravageurs. Ce maïs a été autorisé en 1998 par une décision communautaire et a fait l'objet la même année d'un consentement écrit du Gouvernement français de l'époque.
Notre pays reste cependant menacé de sanctions record (42 millions d'euros) par l'Union Européenne pour dissémination volontaire des OGM !


Vers une meilleure information des consommateurs...
Sous le ministère de Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET est paru un décret (relatif à l'étiquetage des denrées alimentaires issues de filières qualifiées « sans organismes génétiquement modifiés », paru au Journal officiel du 31 janvier 2012.)
Ce texte, attendu par les associations de consommateurs, définit les règles d'étiquetage des produits pour les opérateurs souhaitant valoriser une production sans OGM et aux consommateurs d'exercer pleinement leur choix.

Jusqu'à présent la réglementation prévoyait l'étiquetage obligatoire de la présence d'OGM (au-delà de 0,9 %) en cas d'utilisation volontaire, mais ne définissait pas les modalités d'information du consommateur pour les filières « sans OGM ». Elle ne permettait pas non plus de faire la distinction entre une viande issue d'un animal nourri avec des OGM et une viande provenant d'une filière garantissant une alimentation des animaux sans OGM.

Le décret, qui s'appuie sur les avis du Haut Conseil des biotechnologies de novembre 2009 et de janvier 2011, prévoit des critères différents selon la nature des ingrédients qui composent les denrées :
- Les ingrédients d'origine végétale (par exemple, la farine, l'amidon ou la lécithine) pourront porter la mention « sans OGM » s'ils sont issus de matières premières contenant au maximum 0,1 % d'OGM ;
- L'étiquetage des ingrédients d'origine animale (par exemple, le lait, la viande, le poisson ou les oeufs) précisera « nourri sans OGM (<0,1 %) » ou « nourri sans OGM (<0,9 %) » ;
- Les ingrédients d'origine apicole (par exemple le miel ou le pollen) pourront être étiquetés « sans OGM dans un rayon de 3 km ».

Ces allégations apparaîtront le plus souvent dans la liste des ingrédients ou, lorsque l'ingrédient mis en avant représente plus de 95 % de la denrée, dans le champ visuel principal de l'emballage.
Le nouvel étiquetage est applicable à compter du 1er juillet 2012, mais les consommateurs peuvent d'ores et déjà trouver des denrées alimentaires étiquetées « sans OGM » qui présentent les mêmes garanties que le nouveau décret.


Des OGM dans le bio ?!
L'adoption le 12 juin 2007 d'un nouveau règlement européen par les ministres de l'agriculture autorise désormais la présence d'OGM dans ces produits pour peu qu'ils n'en contiennent pas plus de 0,9 % !
Cette directive avait provoqué la colère des producteurs bio français ainsi que les interrogations d'Alain Juppé, le premier et fugace ministre de l'écologie de l'époque...


Liste des cultures commerciales OGM en France
L'obligation de fourniture d'informations sur les semis de cultures d'organismes génétiquement modifiés (OGM) a été instituée par arrêté ministériel publié le 20 mars 2007. Cet arrêté crée un registre national qui recense, par canton, le nombre et la surface des parcelles semées en OGM.
Petit progrès dans la transparence du gouvernement Fillon en rendant publique la liste des cultures commerciales d'OGM, (hors culture de type laboratoire de recherche).
www.ogm.gouv.fr
Exemple : 16 ha de d'OGM, avaient été autorisés à Bléneau dans l'Yonne (89).


Insectes génétiquement mofifiés
L'organisation GeneWatch Royaume-Uni rejette le nouveau projet de règlement européen pour l'autorisation d'insectes, de poissons, d'animaux de fermes et domestiques génétiquement modifiés.

La firme britannique Oxitec a déjà fait parler d'elle avec ses essais de moustiques transgéniques dans les Iles Caïman et en Malaisie et dernièrement avec des lâchers à grande échelle au Brésil, avec le soutien des autorités de ce pays. Cette même firme travaille sur des papillons et mouches génétiquement modifiés. Si ce nouveau projet de règlement européen était approuvé, ce sont des milliards de chenilles et d'oeufs de papillons et insectes génétiquement modifiés qui pourraient se retrouver dans les fruits et légumes.

Les insectes ont été modifiés génétiquement afin que leurs chenilles meurent à l'intérieur des olives ou des tomates ou sur les feuilles des choux. La compagnie Oxitec prévoit de relâcher ses ravageurs modifiés génétiquement partout dans l'Union européenne afin qu'ils s'accouplent avec leurs congénères sauvages dans le but d'en réduire le nombre. Afin d'avoir un effet sur les populations sauvages, il faut procéder chaque semaines à de nouveaux lâchers d'insectes GM.

La menace est très sérieuse. Après les lâchers massifs de moustiques GM au Brésil dans des conditions qui ne peuvent qu'inquiéter, Oxitec pourrait être très bientôt actif en Espagne.

Un des principaux ravageurs pour les oliviers est la mouche de l'olivier (bactrocera olea). Chaque année les producteurs d'huile essayent de réduire la présence de ce ravageur par des épandages aériens et des mesures de contrôles au sol comme les phéromones.

Oxitec a déjà développé des mouches de l'olivier mâle qui sont modifiées génétiquement de façon que leurs descendants meurent.

L'ébauche de cadre, publiée pour consultation par l'EFSA, exclut spécifiquement tout test pour savoir si les insectes et chenilles modifiés génétiquement présentent un risque alimentaire.

Pour Helen Wallace : « Personne ne veut manger des chenilles GM mortes ou en train de mourir dans ses olives ou ses tomates. Et personne ne sait si les ravageurs GM qui sont encore vivants vont se retrouver dans le jardin ou dans le champ du paysan du coin. Ce que propose l'EFSA, c'est une partie de poker avec notre alimentation et l'environnement. »

GeneWatch Royaume-Uni a écrit à la Commission européenne pour dénoncer le rôle qu'Oxitec et Syngenta, le géant mondial des pesticides, jouent dans la rédaction des nouvelles règles, et pour poser la question de la compétence qu'a l'EFSA pour rédiger des lignes de conduite sur des problèmes qui ne sont pas de son domaine.

Syngenta a financé Oxitec pour développer des ravageurs agricoles GM et la majorité des cadres et des membres du conseil d'administration d'Oxitec sont des anciens de Syngenta. Lors de la consultation, GeneWatch a mis en évidence dans sa réponse, la manière dont les compagnies ont déformé l'ébauche de cadre pour favoriser les autorisations d'insectes GM à utilisation commerciale.

Toujours selon Mme Wallace : « Les compagnies qui espèrent gagner de l'argent en jouant avec la santé des gens et l'environnement, écrivent elles-mêmes leurs propres règles. A quoi sert une autorité de sécurité des aliments qui ne veut pas faire son travail ? »

Les points qui inquiètent GeneWatch sont les suivants :
- L'EFSA affirme que les risques alimentaires des insectes présents dans les aliments ont été abordés lors d'une précédente consultation qui en fait les a explicitement rejetés ;

- L'EFSA n'explique pas comment on pourrait empêcher des oeufs d'insectes ou de poissons GM de se retrouver au mauvais endroit et de nuire à l'environnement ;

- L'EFSA a essayé de changer son domaine d'action et d'y inclure les prétendus « avantages » (réduction de l'usage des pesticides) : cela ne fait pas partie du rôle de l'EFSA dans la réglementation européenne.

- L'environnement naturel va s'adapter aux lâchages d'insectes GM avec des réponses complexes qui ont été ignorées, alors que la réduction d'un ravageur par la méthode Oxitec peut rendre les problèmes avec un autre ravageur encore pires.

- les impacts des insectes GM sur les maladies touchant humains et animaux sont très mal compris et n'ont pas été correctement pris en compte.

- L'EFSA a ignoré les risques qu'il y a à relâcher plus d'un type d'insecte GM dans une même zone les projets d'Oxitec de combiner les ravageurs GM avec les plantes GM comme méthode pour essayer de ralentir la progression de la résistance des ravageurs aux plantes insecticides GM (plantes Bt) ;

- le lâchage de poissons GM pourrait avoir de graves conséquences pour les poissons sauvages et pour l'environnement ;

- on continue d'ignorer le fait que des animaux de ferme GM perdent spontanément leurs petits ou mettent bas des animaux déformés ou morts nés. La commercialisation des animaux GM passe avant le bien être animal.


Annoncez vos manifestations
Nous rappelons à tous ceux qui organisent des évènements ou manifestations autour de cette thématique qu'ils peuvent les annoncer gratuitement sur plus de 40 sites en même temps (cliquez sur le lien "Agenda" et choisissez la rubrique écologie)


Modèle de pétition à adresser à vos élus si vous voulez agir :
(exemple adressé à votre député, mais pouvant être transposé facilement pour un autre élu)

M
Assemblée nationale
26,rue de l'Université
75355 - PARIS 07



M (Mme) le Député,

Vous aurez à vous prononcer en notre nom sur le projet de loi concernant les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM).

Tel qu'il a été voté par le Sénat le 8 février dernier 2008, ce texte donne le feu vert à la contamination génétique de notre environnement, notre alimentation et notre agriculture, puisqu'il est dit dans son article L 531-2-1: «La liberté de consommer et de produire avec ou sans OGM est garantie dans le respect des principes de précaution, de protection...».
Ainsi la coexistence entre cultures OGM et non OGM est explicitement consacrée et le terme est introduit dans le titre du chapitre II de la loi : «Responsabilité et coexistence entre cultures».

Les travaux du Grenelle de l'Environnement avaient pourtant acté que la coexistence des cultures OGM et non OGM est scientifiquement impossible.

Je vous demande donc de défendre les principes suivants qui ne figurent pourtant pas dans le texte voté par les Sénateurs :
- la primauté d'une agriculture et d'une alimentation sans OGM,
- les produits «sans OGM» ne doivent contenir aucune trace d'OGM (seuil de détection),
- le régime de responsabilité strict et sans faute, impliquant l'ensemble des opérateurs de la filière OGM, sur l'ensemble des préjudices directs ou indirects, immédiats ou différés, y compris lorsque la contamination ne vient pas d'un champ voisin et que son origine ne peut être identifiée avec certitude : le texte voté par les Sénateurs ne prévoit que la responsabilité sans faute du seul agriculteur qui sème des OGM et non de l'ensemble des acteurs de la filière.

Comme une grande majorité des Français, je refuse les OGM dans mon assiette et dans nos champs.

Cette technologie, comportant des risques trop peu évalués pour l'Environnement et la santé, ne peut «coexister» avec les agricultures paysannes et labellisées (Bio-AOC...). Toutefois, je tiens à préciser que je voudrais que la recherche fondamentale et médicamenteuse continue en milieu confiné.

C'est pourquoi, je vous demande de modifier ce texte de loi et de voter cette dernière, de telle sorte qu'elle permette de continuer à consommer et à produire sans OGM dans notre pays.
Au final, le texte sur les OGM n'est cohérent, ni avec les conclusions du Grenelle, ni avec les engagements du Président de la République : «la vérité est que nous avons des doutes sur l'intérêt, sur le contrôle de la dissémination et sur les bénéfices sanitaires et environnementaux des OGM».

J'observerai attentivement vos efforts dans ce sens.

Je vous prie d'accepter, Monsieur le Député, mes salutations respectueuses.

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