Ecologie Solutions
POLLUTIONS LUMINEUSES
Pollutions lumineuses

Les astronomes, tant amateurs que professionnels, les citoyens curieux du ciel, se trouvent de plus en plus gênés lors de l'observation de la voûte céleste par l'éclairage artificiel du ciel qui génère une forme de pollution dite "pollution lumineuse". Ce phénomène existe depuis déjà quelques années, mais prend une ampleur régulièrement croissante au fil du temps.


Cette pollution du ciel de nuit par l'éclairage public et privé nécessite une prise de conscience rapide de tous afin d'y remédier par l'application de solutions connues qui ont le mérite d'être simples et peu coûteuses.

Le ciel nocturne a été déclaré Patrimoine Mondial en 1992 par l'UNESCO qui, à cette occasion, a co-signé une charte visant à préserver l'environnement nocturne. De nombreuses personnalités ont soutenu ce texte, joint ci-dessous.


La pollution par l'éclairage urbain
Les causes de la dégradation de ce patrimoine sont notre peur instinctive du noir, à laquelle se surajoute une forte demande de sécurité de la part du public.

Ceci conduit à la réalisation d'éclairages publics faits de lampadaires très "lumineux". Réalisés de façon voyante, ils dépassent le but recherché :
- boules diffusant leur énergie lumineuse sur la surface de presque toute leur sphère. Souvent posées au sommet d'un mât, elles éclairent moins le sol que le ciel...
- paralumes qui, lorsqu'ils existent, sont inclinés à 45° au lieu d'être à plat.
- ampoules trop puissantes.
- ampoules à vapeur de Mercure ou au Sodium haute pression difficiles à filtrer pour les astronomes.

Depuis quelques années nous assistons à la multiplication des "mises en valeur" des monuments (châteaux, églises, ponts...) par un éclairage nocturne. A quelques rares exceptions près, les projecteurs restent allumés toute la nuit et les faisceaux sont souvent beaucoup plus larges que le monument éclairé. De ce fait, le ciel se trouve directement et puissamment éclairé.

Des projets insensés se font jour : fin 97, la délégation régionale de l'Association Française d'Eclairage a tenu à Dijon son assemblée générale. Au sujet de la "mise en lumière", il a été tenu les propos suivants : "Pourquoi pas des milieux naturels, par exemple dans le parc du Morvan ou ailleurs, partout où un site, quel qu'il soit, mériterait cette valorisation" (source : Le Bien Public). Ces propos nous semblent des plus inquiétants, et l'on peut se demander si les conséquences sur l'environnement ont été prises en compte...

Les conséquences
L'éclairage des voies de circulation ou des lieux d'habitation est bien sûr un facteur important de sécurité, et doit rester une priorité. Toutefois quelques préjugés doivent être corrigés :
1 - Physiologiquement
Une lumière blanche et crue, comme celle des lampes à vapeur de Mercure donne l'illusion d'être bien éclairé, alors que la vision est en réalité diminuée : contraction de la pupille et fatigue de l'oil, visibilité réduite par écrasement du relief, ombres allongées, déformation des silhouettes, mauvaise appréciation du mouvement.

2 - Route
- Les boules lumineuses jaunes, dont les ampoules ne sont pas protégées par un paralume se trouvent en vision directe, ce qui éblouit l'oil, particulièrement lors de la conduite automobile.
- De plus, l'éclairage des grands axes routiers fait croître le risque d'accident, car incite les automobilistes à augmenter leur vitesse, qui reste, rappelons-le, la première cause d'accidents de la circulation et accroît leur gravité.
La diffusion de la lumière dans toutes les directions donne l'impression de sécurité alors qu'elle est très dangereuse, surtout par temps de brouillard ou de pluie.

3 - Sécurité
La majorité des cambriolages ou vols avec agression a lieu en plein jour ! (statistiques de la police et de la gendarmerie nationale). Les maisons des villages discrètement éclairées sont moins "visitées" que les habitations hyper-éclairées...
Au mieux, les problèmes de petite délinquance sont déplacés au quartier voisin. Récemment, des incendies de véhicules ont bien eu lieu dans certaines villes dans des quartiers bien éclairés...
Cet éclairage, quand il est violent et agressif comme le sont ces lampadaires-boules, n'incite pas à la sérénité comme il sait le faire lorsqu'il est bien conçu, doux et homogène, à un niveau agréable à l'oeil.

4 - Ecosystème
Ce problème n'est pas uniquement celui des astronomes, mais aussi celui de toute personne soucieuse de préserver notre environnement. Les étoiles ne sont pas les seules victimes de cette agression lumineuse : tout notre écosystème en pâtit. Des études montrent que le suréclairement, qui tend à faire reculer la nuit, trouble quantité d'animaux aussi bien nocturnes que diurnes ; les grandes agglomérations, fortement lumineuses, dérèglent complètement les animaux migrateurs ; sans compter le nombre important d'insectes qui, détruits par des ampoules non protégées, ne seront pas à la base de la chaîne alimentaire ; et sans oublier non plus les effets néfastes sur les plantes qui ne peuvent pas se "reposer" la nuit et continuent leur photosynthèse...

5 - Astronomie
Les villes, les axes routiers, les carrefours s'entourent de halos lumineux jaunâtres visibles à des dizaines kilomètres à la ronde. Exemples : Paris : halo visible à 150 km ; Dijon : 40 km ; l'Observatoire du Pic du Midi gêné par le halo toulousain. Dans le cour des villes, les enfants ne savent plus ce qu'est un ciel étoilé, sans parler de la Voie Lactée.
BILAN :
- Observations visuelles impossibles,
- Photographies montrant des fonds de ciel... jaunes,
- Imagerie électronique perturbée (photométrie et imagerie CCD, amplificateurs de lumière).

6 - Financièrement
Diffuser plus de 50% de l'énergie lumineuse consommée vers le ciel est un gâchis énergétique qui n'est pas sans conséquences sur la feuille d'impôts des contribuables que nous sommes.
La facture s'alourdit si l'on rajoute la fragilité dans le temps de globes-boules et l'usure prématurée des ampoules soumises à des chocs thermiques importants dans ces enceintes closes exposées au Soleil.

Au total : il est possible de diminuer l'imposition locale de 1 à 2 % en réalisant un éclairage urbain non polluant !


La pollution par les publicités lumineuses et les "lasers"
Cette forme de pollution est récente.
Les centres commerciaux des périphéries des villes juxtaposent sur des surfaces étendues des magasins.Leurs façades sont puissamment éclairées par des projecteurs dirigés du sol vers le ciel, ou ornées de tubes fluorescents de grande taille au nom du magasin. Ces sources de lumière, non protégées, participent à l'augmentation de la taille du halo de pollution lumineuse des villes.

La plus grave des atteintes au ciel nocturne est réalisée par les canons à lumière, improprement nommés "lasers".
Une action devient urgente dans ce domaine :
On constate la prolifération de ces projecteurs, genre DCA, associée à une escalade dans la puissance des faisceaux.
Ces lasers sont un moyen publicitaire, utilisé surtout par les boîtes de nuit. La concurrence jouant, l'intensité des projecteurs est sans cesse augmentée. De plus ces faisceaux sont rarement fixes, mais bien souvent tournoyants ou multiples, balayant ainsi une large partie du ciel (la portée d'un projecteur dijonnais a été mesurée à 14 km, par triangulation) distrayant au passage l'attention des automobilistes (projecteur tournoyant, à quelques centaines de mètres de l'autoroute à Beaune ; effet "OVNI" de faisceaux illuminant la base de nuages).

Les sites reculés, loin des villes, sont touchés
Quelques exemples :
- bal itinérant dans l'arrière côte dijonnaise où les Côte d'Oriens s'éloignent des agglomérations pour observer,
- boîte de nuit en haute montagne (Orcière-Merlette), empêchant les chasseurs de comète de travailler,
- boîte de nuit à Font-Romeu à côté de l'Observatoire professionnel "Thémis".

Résultat :
Observations visuelles gâchées, photographies impossibles, de même pour l'imagerie CCD. Pour les citoyens, privation de la liberté de regarder le Ciel et pour les astronomes, privation de la liberté d'exercer leur passion - ou leur métier- par des gens dont, paradoxalement, le métier est de faire du spectacle en intérieur.

Les moyens d'action
CONTRE les "LASERS"
Pour éviter les abus, le 2 février 1995 a été votée une Loi, modifiant un texte de 1979 et stipulant que "Les enseignes à faisceau de rayonnement laser sont soumises à l'autorisation du préfet". Cette nouvelle a été accueillie par les astronomes avec le plus grand soulagement. Ce sentiment a été renforcé après la parution d'un décret daté du 24 octobre 1996, venu du ministère de l'environnement, qui précisait les modalités de l'autorisation.
Mais hélas, une circulaire de ce même ministère, datée du 26 mai 1997, venait vider de son sens la Loi en stipulant : "Tout système d'enseigne qui utiliserait une source lumineuse autre que le rayonnement laser, quand bien même son intensité lumineuse et sa portée seraient comparables à celles du rayonnement laser, n'entre pas dans le champ d'application de cet article" ! (Textes de Lois ci-dessous)

Tous les espoirs des amoureux du ciel ont été anéantis par cette phrase, car elle permet aux discothèques de remplacer leurs rayons lasers par des projecteurs haute puissance, type DCA, produisant les mêmes dégâts sur l'environnement nocturne.

Les astronomes n'ont pas compris et ne comprennent toujours pas ce retournement de situation. Comment les parlementaires peuvent-ils laisser ruiner leur travail par une circulaire qui va à l'encontre de la Loi qu'ils viennent d'édicter ?
Un second motif d'incompréhension de la part des astronomes sur le sujet, est la non-considération, vis-à-vis de la Loi, de ces projecteurs lumineux comme étant des moyens de publicité.
Or du propre aveu des dirigeants de boîtes de nuit que nous avons contactés et qui utilisent ce procédé, leur seul objectif est d'attirer de la clientèle. N'est-ce pas la définition même de la publicité ?

Les astronomes souhaitent donc que la Loi ne soit pas déviée de son sens et que la circulaire d'application du 26 mai soit révisée, afin d'être mise en conformité avec l'esprit de cette Loi de Protection de Ciel Nocturne.

POUR un MEILLEUR ECLAIRAGE PUBLIC, MOINS POLLUANT
La solution pour améliorer l'efficacité de l'éclairage du sol nécessaire aux piétons et éviter le gâchis de 50% de l'énergie consommée, consisterait à doter chaque système d'éclairage d'abat-jour, calotte ou réflecteur bien conçus, de manière à n'éclairer que ce qui doit l'être.
Un réflecteur métallisé, horizontal, recouvrant l'ampoule sans la laisser dépasser concentre la lumière vers le sol. Le même flux lumineux peut alors l'atteindre en utilisant une ampoule moins puissante, moins coûteuse, et mieux protégée. Fermé par un cache plat non diffusant, ce lampadaire protège l'intégrité de la vision nocturne des automobilistes qui ne sont plus éblouis par la vision directe de la source de lumière.
L'utilisation des lampes au Sodium basse pression serait idéale car leur lumière monochromatique peut être aisément filtrée. Les lampes à vapeur de Sodium haute pression restent les plus économiques et offrent un rendu des couleurs correct mais leur spectre d'émission est plus large. Les lampes à vapeur de Mercure, les plus polluantes, sont à proscrire.

Ces solutions sont applicables immédiatement, car tous ces dispositifs existent déjà dans les catalogues des fabricants. Il serait souhaitable qu'elles soient prises en compte lors de l'installation de nouveaux systèmes d'éclairage ou la rénovation des anciens. La prise de conscience commence à exister puisque cette information est tirée de l'article " Eclairage extérieur : Du simple rôle fonctionnel à la mise en valeur des villes "in" - Le Moniteur des travaux publics du 6 juin 1997".

Nous proposons aussi, pour réduire les dépenses inutiles et les gênes occasionnées, de concentrer correctement les faisceaux et de favoriser les projecteurs " en lumière solaire " pour l'éclairage des monuments (du haut vers le bas), et d'éteindre les illuminations à 22 ou 23 heures selon la saison. Ces illuminations n'ont d'intérêt que si elles sont admirées. Or qui les observe en plein milieu de la nuit ? Et c'est encore plus valable pour les enseignes des grandes surfaces.


Conclusion
Une réaction efficace est nécessaire.
De nos jours, le ciel étoilé est presque un luxe. En ville, une main suffit à compter les étoiles visibles. A 5km d'une ville de la taille de Dijon, la Voie Lactée reste invisible. Même la campagne est gagnée par cette pollution. Il faut toujours plus s'éloigner des villes pour pouvoir contempler les merveilles célestes.
Au vu de l'évolution de ce phénomène, il semble clair que dans quelques années seulement, la Voie Lactée sera devenue en Europe un mythe, dont on aura entendu parler par ouï-dire.
Alors que dire d'une civilisation qui prive ses descendants du Ciel Nocturne, dont la contemplation fut pourtant une si grande source d'inspiration, d'imagination pour l'espèce humaine et qui a permis le développement des techniques et le progrès scientifique ?

Il serait souhaitable que l'on puisse disposer de Lois claires et non ambiguës dans ce domaine.
Il ne faut pas éclairer plus, mais éclairer mieux.


Charte pour la préservation de l'environnement nocturne

Attendu que l'alternance du jour et de la nuit règle depuis un milliard d'années la vie animale et végétale sur la planète Terre.

Considérant que le ciel nocturne est un élément naturel et inaliénable de l'environnement de l'homme sur sa planète,

Constatant que l'éclairage public et privé est indispensable à la vie sociale dans les domaines du confort et de la sécurité, mais que la prolifération d'un éclairage urbain et routier mal conçu constitue une menace pour l'équilibre naturel de la Vie et pour l'existence d'un ciel nocturne étoilé,

Les dispositions suivantes seront appliquées pour tout éclairage public ou privé :

Article 1
De façon générale, l'éclairage public ou privé doit être limité en intensité et en durée aux stricts besoins de la population et aux impératifs réels de sécurité.

Article 2
Tous les appareils d'éclairage extérieur doivent utiliser des capuchons réflecteurs efficaces, de manière à éclairer uniquement ce qui doit être vu ; en aucun cas la lumière ne sera dirigée vers le ciel où elle constitue une pollution pour la végétation, la faune nocturne, l'astronomie, l'aviation.

Article 3
Pour éviter tout gaspillage d'énergie, on utilisera en priorité absolue les lampes ayant le meilleur rendement énergétique : type sodium à basse pression ou tout autre système qui pourrait être développé à l'avenir.

Article 4
Les éclairages de monuments, d'enseignes publicitaires, de tous autres édifices ou lieux, doivent être éteints au plus tard à 23 heures sur tout le territoire français, dérogations exceptionnelles accordées pour des raisons de sécurité.

Article 5
Pour satisfaire aux exigences ci-dessus, des réglementations strictes doivent être arrêtées et appliquées et des campagnes publiques d'information organisées tant auprès des particuliers que des collectivités locales.

texte soutenu par :
- Commandant Jacques-Yves COUSTEAU de l'Académie Française,
- Albert JACQUART, Biologiste,
- Jean KOVALESKY de l'Académie des Sciences,
- Antoine LABEYRIE, Astronome,
- Jean-Claude PECKER, Astronome,
- Hubert REEVES, Astrophysicien,
- Evry SCHATZMAN de l'Académie des Sciences.

Textes de Lois cités
Extrait du Journal Officiel de la République Française du 30 décembre 1979
.
"(...) LOI n°79-1150 du 29 décembre 1979 relative à la publicité, aux enseignes et préenseignes.
(...) Chapitre II
Dispositions applicables aux enseignes et préenseignes.
Art 17. - Un décret en Conseil d'état fixe les prescriptions générales relatives à l'installation et à l'entretien des enseignes en fonction des procédés utilisés, de la nature des activités ainsi que des caractéristiques des immeubles où ces activités s'exercent et du caractère des lieux où ces immeubles sont situés.
Les actes instituant les zones de publicité autorisée, les zones de publicité restreinte et les zones de publicité élargie peuvent prévoir des prescriptions relatives aux enseignes :
Le décret prévu au premier alinéa fixe les conditions dans lesquelles ces prescriptions peuvent être adaptées aux circonstances locales lorsqu'il n'a pas été fait application des dispositions du deuxième alinéa.
Sur les immeubles et dans les lieux mentionnés aux articles 4 et 7, ainsi que dans les zones de publicité restreinte, l'installation d'une enseigne est soumise à autorisation (...)."

Extrait du Journal Officiel de la République Française du 3 février 1995.
"(...)LOI n°95-101 du 2 février 1995 relative au renforcement de la protection de l'environnement.
(...) Art 53. - La loi n°79-1150 du 29 décembre 1979 relative à la publicité, aux enseignes et préenseignes est ainsi modifiée et complétée :
(...)II L'article 17 est complété par un alinéa ainsi rédigé :
"Les enseignes à faisceau de rayonnement laser sont soumises à l'autorisation du préfet"

Extrait du Journal Officiel de la République Française du 31 octobre 1996.
" (...)
Décret n°96-946 du 24 octobre 1996 modifiant (...) le décret n°82-211 du 24 février 1982 portant règlement national des enseignes.
Art 2. - Le chapitre II du décret du 24 février 1982 susvisé est complété par l'article suivant :
"Art 13-1. - L'autorisation d'installer une enseigne à faisceau de rayonnement laser prévue par l'article 17 de la loi du 29 décembre 1979 susvisée est délivrée par le préfet dans les formes et conditions prévues par les articles 8 et 10 à 13 du présent décret. Le préfet exerce les compétences attribuées au maire par ces articles.
" La demande d'autorisation est établie en deux exemplaires et adressée par la personne ou l'entreprise qui exploite l'enseigne, par pli recommandé avec demande d'avis de réception postal, au préfet ou déposée contre décharge à la préfecture.
" La demande comporte :
" 1. L'identité et l'adresse du demandeur ;
" 2. Un plan de situation avec l'indication des immeubles bâtis les plus proches ;
" 3. Une notice descriptive mentionnant notamment la puissance de la source laser, les caractéristiques du ou des faisceaux et la description des effet produits."

Extrait de la circulaire du 26 mai1997 (Environnement).
"Déclaration préalable des dispositifs supportant de la publicité et de certaines préenseignes et autorisation préfectorale pour les enseignes laser."
(...) Chapitre IIl (...)
A / Champ d'application de l'autorisation préfectorale :
Seuls les dispositifs constituant des enseignes au sens de l'article 3 de la loi d'une part et utilisant d'autre part une source de rayonnement laser entrent dans le champ d'application de l'autorisation préfectorale préalable.
En spécifiant l'utilisation du rayonnement lasers comme source lumineuse, le législateur a entendu réserver à cette seule technologie particulière l'application du régime d'autorisation préalable. Les lasers ne peuvent en effet être assimilés à des dispositifs utilisant des sources lumineuses classiques, compte tenu de la spécificité technique et des effet physiologiques de ce procédé.
Tout système d'enseigne qui utiliserait une source lumineuse autre que le rayonnement laser, quand bien même son intensité lumineuse et sa portée seraient comparables à celles du rayonnement laser, n'entre pas dans le champ d'application de cet article.

Dossier constitué par :
la Société Astronomique de Bourgogne
4 rue Chancelier de l'Hospital
21000 - Dijon
Tel : 03 80 36 44 13

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