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Les HYPERFREQUENCES :
Micro-ondes, téléphones DECT et GSM, Wi-fi, Wimax...


Tout d'abord, en guise d'introduction et si vous doutez encore de l'action des fréquences de votre téléphone portable, regardez cette petite expérience, répétées dans plusieurs pays...




Les hyperfréquences
Ce sont des champs électromagnétiques constitués d'ondes hautes fréquences dont la longueur est intermédiaire entre l'infrarouge et celles utilisées en radiodiffusion.
Ces longueurs d'onde se situent dans la gamme de 30 centimètres (1 GHz) à 1 millimètre (300 GHz)

Principales bandes utilisées
Dénomination Gamme fréquences Gamme longueur d'onde
Bande L de 1 à 2 GHz 30 à 15 cm
Bande S de 2 à 4 GHz 15 à 7,5 cm
Bande C de 4 à 8 GHz 7,5 à 3,75 cm
Bande X de 8 à 12 GHz 3,75 à 2,5 cm
Bande Ku de 12 à 18 GHz 2,5 à 1,6 cm
Bande K de 18 à 26 GHz 16,6 à 11,5 mm
Bande Ka de 26 à 40 GHz 11,5 à 7,5 mm
Bande Q de 30 à 50 GHz 10 à 6 mm
Bande U de 40 à 60 GHz 7,5 à 5 mm
Bande V de 46 à 56 GHz 6,5 à 5,3 mm
Bande W de 56 à 100 GHz 5,3 à 3 mm


les normes
- normes françaises : 29,1 V/m (à 450 Mhz) 41,2 V/m (à 900 Mhz) 58,2 V/m (à 1800 Mhz) 61 V/m (au-delà de 2000 Mhz),
- les normes russes sont les plus strictes puisqu'elle mettent la limite à 3 V/m, quelque soit la fréquence !
- préconisation en Géobiologie : 0,614 V/m, sans distinction de fréquence !

études récentes
Suite à de nombreux troubles observés chez les riverains des stations relais de téléphonie mobile et chez les utilisateurs de téléphones portables, une étude importante a été menée par les docteurs R. Gautier, P. Le Ruz, D. Oberhausen, R. Santini (respectivement spécialistes en Pharmacie – Biologie, Physiologie, Physique et Sciences).
Faisant la synthèse des études épidémiologiques recensées un peu partout dans le monde, elle décrit les conséquences sanitaires de l'exposition des populations aux hyperfréquences pulsées de la téléphonie mobile : insomnies, troubles cardiaques, hypertension, céphalées... ainsi que l'existence possible d'un lien entre cette exposition et des pathologies lourdes telles des maladies neuro-dégénératives et certaines formes de cancer : stress cellulaire, génotoxicité, risques de tumeurs au cerveau ou de leucémies...

De la réglementation Européenne à l'étude des ELF (Extrêmement basses fréquences) produites par les ondes radioélectriques, ce mémoire :
- cite et commente les rapports officiels Français sur la téléphonie mobile et met en lumière ce qu'ils ne disent pas...
- démonte les mécanismes et met en évidence les effets des radiofréquences sur la barrière hémato-encéphalique et les conséquences de cette perméabilisation.
- suggère des mesures de radioprotection plus strictes et notamment concernant les stations relais.

Recommandations officielles !
Le principal effet des ondes hertziennes consistant en un échauffement des tissus, des recommandations relatives à l'exposition aux champs de fréquences hertziennes et ultrahertziennes visent à éviter tout effet thermique local ou général.
Leur respect permet de les réduire dans une proportion suffisante pour les rendre "supportables " par l'organisme.
Selon la CIPRNI (Commission internationale de la protection contre le rayonnement non ionisant), si l'on veut prendre en compte les effets cumulés de l'exposition, il faut déterminer l'exposition moyenne pondérée en fonction du temps ou l'organisme est soumis au rayonnement hertzien et ultrahertzien.
Ses recommandations établissent que la moyenne est à mesurer sur une durée de 6 minutes et qu'une exposition supérieure à la limite est acceptable si elle est brève ?!


Rapport BioInitiative
Ce rapport scientifique international publié le 31-08-2007 par le BIOINITIATIVE WORKING GROUP, dresse un état complet des connaissances de l'effet sur l'homme ou les organismes vivants des rayonnements non ionisants des lignes électriques et de la téléphonie mobile.
Il s'agit d'un rapport récapitulatif qui passe en revue plus de 1500 travaux publiés sur le sujet.

Il a pour objectifs de :
- démontrer la nocivité des ondes de type téléphonie mobile
- donner des arguments pour des seuils de protections du public fondés sur les effets biologiques des rayonnements électromagnétiques (Extrêmement Basses Fréquences et Micro-Ondes).

Le rapport BioInitiative a été validé puis publié par l'E.E.A (Agence Européenne de l'Environnement) et validé par le Parlement Européen lors d'un vote le 04/09/2008.

Tous les scientifiques y ayant participé sont des sommités dans la branche concernée, qui traite des effets des divers types de champs électromagnétiques sur toutes les formes du vivant.
Les membres du Comité Organisateur et trois des signataires sont membres de la très renommée "BIOELECTROMAGNETICS SOCIETY".

Comité d'organisation
Carl Blackman (USA), Martin Blank (USA), Michael Kundi (Austria), Cindy Sage (USA).

Chargé de recherche
S. Amy Sage (USA)

Participants
David Carpenter (USA), Zoreh Davanipour (USA), David Gee (Dannemark), Lennart Hardell (Suède), Olle Johansson (Suède), Henry Lai (USA), Kjell Hansson Mild (Suède), Eugene Sobel (USA), Zhengping Xu (Chine), Guangdin Chen (Chine).

Note technique sur les émissions
Les émissions de téléphonie mobile ont une structure physique triple.
- une hyperfréquence dite porteuse,
- des modulations en extrêmement basses fréquences pour les signaux portés,
- une multipulsation chaotique.

Chaque structure a sa toxicité propre, la pire étant la multipulsation.

Les émissions UMTS – WIFI – WIMAX – BLUETOOTH – DECT - sont de la même famille de structure que la téléphonie mobile.
Les toxicités sont de même nature.

Organisation du rapport
Nous appellerons ces émissions TTM – Type Téléphonie Mobile.

Début du rapport - Textes de présentation

Article 4 - PREUVES DE L'INADAPTATION DES NORMES
C'est-à-dire preuves du fait que les documents et chiffres officiels censés garantir une protection n'en assurent aucune.
Auteur : Cindy SAGE
Membre titulaire de la BS – BIOELECTROMAGNETICS SOCIETY
Travaux publiés cités en référence - page 4

Article 5 - PREUVES DES EFFETS GENETIQUES
C'est-à-dire preuves du fait que l'exposition du vivant à des émissions TTM provoque des effets sur les gènes et sur l'expression des protéines.
Auteurs : Zhengping XU et Guangdi CHEN – Membres de la BS
Membres de l'Université de Médecine ZHEJIANG à HANSZOU - CHINE
Travaux publiés cités en référence - page 35.

Article 6 - PREUVES DES EFFETS GENOTOXIQUES ET DES DOMMAGES GENETIQUES

C'est-à-dire preuves du fait que l'exposition du vivant à des émissions TTM provoque des altérations non réparables de l'ADN.
Auteur : Dr Henry LAI (Université de WASHINGTON – USA).
Travaux publiés cités en référence - page 220

Article 7 - PREUVES DES EFFETS SUR LES PROTEINES DE STRESS
C'est-à-dire preuves du fait que l'exposition du vivant à des émissions TTM déclenche des processus de mise en oeuvre des protéines de stress.
Auteur : Dr Martin BLANK (Président de la BS
Université de COLUMBIA – NEW YORK – USA).
Travaux publiés cités en référence - page 196

Article 8 - PREUVES DES EFFETS SUR LA FONCTION IMMUNITAIRE
C'est-à-dire preuves du fait que l'exposition du vivant à des émissions TTM provoque des perturbations de fonctionnement du système immunitaire.
Auteur : Dr Olle JOHANSSON (Institut KAROLINSKA - STOCKHOLM – SUEDE).
Travaux publiés cités en référence - page 70

Article 9 - PREUVES DES EFFETS SUR LA NEUROLOGIE ET LE COMPORTEMENT
C'est-à-dire preuves du fait que l'exposition du vivant à des émissions TTM provoque des perturbations de fonctionnement du système nerveux qui ont pour conséquences des troubles du comportement.
Cet article traite également du fait que ces émissions provoquent une importante perte d'étanchéité de la barrière sang-cerveau au niveau des vaisseaux irrigant le cerveau.
Auteur : Dr Henry LAI (Université de WASHINGTON – USA).
Travaux publiés cités en référence - page 375

Article 10 - PREUVES SUR L'ORIGINE DE TUMEURS DU CERVEAU ET DE NEURINOMES ACOUSTIQUES
C'est-à-dire preuves du fait que l'exposition du vivant à des émissions TTM déclenche des processus de développement de tumeurs du cerveau et de neurinomes acoustiques.
Auteurs : Dr Lennart HARDELL (Hôpital Universitaire d'OREBRO – SUEDE), Dr Kjell Hansson MILD (Président de la BS Université d'UMEA – SUEDE), Dr Michael KUNDI (Membre titulaire de la BS Université Médicale de VIENNE – AUTRICHE).
Travaux publiés cités en référence - page 148

Article 11 - PREUVES SUR L'ORIGINE DE CANCERS ENFANTINS – LEUCEMIE
C'est-à-dire preuves du fait que l'exposition du vivant à des émissions TTM déclenche des processus de développement de cancers enfantins du type leucémie.
Auteur : Dr Michael KUNDI (Membre titulaire de la BS Université Médicale de VIENNE – AUTRICHE).
Travaux publiés cités en référence - page 118

Article 12 - EFFETS SUR LA PRODUCTION DE MELATONINE, SUR LA MALADIE D'ALZHEIMER ET SUR LES CANCERS DU SEIN
L'article traite des preuves du fait que l'exposition du vivant à des émissions TTM perturbe le taux de production de la mélatonine et déclenche des processus de développement de la maladie d'ALZHEIMER et de cancers du sein.
Auteurs : Dr Zoreh DAVANIPOUR (Institut FRIENDS RESEARCH – LOS ANGELES – USA), Dr Eugene L. SOBEL (Institut FRIENDS RESEARCH – LOS ANGELES – USA).
Travaux publiés cités en référence - page 171

Article 13 - PREUVES SUR L'ORIGINE DES CANCERS DU SEIN
C'est-à-dire preuves du fait que l'exposition du vivant à des émissions TTM déclenche des processus de développement de cancers du sein.
Auteur : Cindy SAGE (Membre titulaire de la BS)
Travaux publiés cités en référence - page 50

Article 14 - PREUVES SUR L'ORIGINE DES PERTURBATIONS DES REGULATIONS MEMBRANAIRES
C'est-à-dire preuves du fait que l'exposition du vivant à des émissions TTM provoque des perturbations dans la régulation des échanges cellulaires au niveau des canaux ioniques des membranes. Et donc, une perturbation de l'ensemble des fonctions vitales au niveau physiologique élémentaire, celui de la cellule.
Auteur : Carl F. BLACKMAN (Président de la BS US Environmental Protection Agency – USA).
Travaux publiés cités en référence - page 74

Article 15 - PREUVES FONDEES SUR LES THERAPIES MEDICALES
C'est-à-dire preuves de l'existence de divers types d'effets que l'exposition à des émissions TTM a sur le vivant par l'efficacité de thérapies qui mettent en oeuvre les aspects positifs de ces effets.
Auteurs : Cindy SAGE (Membre titulaire de la BS), Amy SAGE
Travaux publiés cités en référence - page 17

Article 16 - LE PRINCIPE DE PRECAUTION
Auteur : Mr David GEE (Agence Européenne de l'Environnement – COPENHAGUE – DANEMARK).
Travaux publiés cités en référence - page 57

Article 17 - CLEF DES PREUVES SCIENTIFIQUES
Auteurs : Dr David O. CARPENTER (Université d'ALBANY EST – RENSSELAER – USA), Cindy SAGE (Membre titulaire de la BS).
Travaux publiés cités en référence - page 49

Fin du rapport - Textes de documentation
Les conclusions incluses au rapport sont situées dans l'Article 1
Conclusions texte pages 1 à 28
Conclusions tableaux pages 29 à 44.



Les micro-ondes
Le terme de micro-onde provient du fait que ces ondes ont une longueur d'onde plus courte que celles de la bande VHF, utilisée par les radars.
Lorsqu'ils sont neufs/, les appareils de cuisine utilisant cette technologie respectent les normes, mais avec l'usage et au bout de quelques années les valeurs mesurées sont à peine croyables !!!
mesures à 3 m : 1600 mV/ m !
Le simple fait de mettre une feuille d'aluminium ménager devant la porte du micro-ondes fait chuter cette émission d'hyperfréquences à 30 mV/m…



Les téléphones sans fil (ou DECT)
Nous sommes de plus en plus équipés des nouveaux téléphones domestiques devenus eux aussi numériques (Digital Enhanced Cordless Telephone).
La base émet de forts rayonnements hyperfréquences 24 h/ 24 h.
mesures
à 1 m : 1000 mV/ m
à 2 m : 500 mV/ m.

Attention : à ne surtout pas installer sur sa table de nuit !

Solutions
- offrez-vous un DECT "low-radiation " (basses radiations),
- enfermer la base dans une "DECT Box ",
- mettre la ou les bases le plus loin possible des lieux de vie et de sommeil de votre logement.

DECT Basses radiations
Téléphone sans fil (DECT) basses radiations

DECT Box
DECT Box



le Wi-fi
Quelles que soit leur marque et leur modèle les "Wi-fi Box" créent 24 h/ 24 h un champ hyperfréquence constant dans tout votre logement et même chez vos voisins, si vous habitez une construction collective verticale.

Les ondes Wi-fi sont des hyperfréquences (micro-ondes) pulsées en extrêmement basses fréquences (ELF) du type téléphonie mobile.
Ces ondes invisibles, bien que 2,5 fois moins importantes que celles du GSM, viennent s'ajouter aux autres ondes dans lesquelles nous baignons.
Il est utile de rappeler qu'un Wi-fi non-désactivé émet en permanence, que l'ordinateur soit allumé ou pas, connecté ou pas !

La structure physique de l'émission "type téléphonie mobile" (dont le Wi-fi) est composite :
– une hyperfréquence, ou micro-onde,
– une gamme de très basses fréquences,
– une multipulsation chaotique, c'est-à-dire sans résonance de rythmes.

Effets sur la santé
Bien qu'à faible puissance électrique, la structure physique (ondes pulsées "type téléphonie mobile") et la fréquence particulière des émissions Wi-fi (~2450 Mhz) crée une agitation des molécules d'eau qui la rendent particulièrement toxique.

Même si vous ne le ressentiez pas physiquement, le Wi-fi (au bureau comme à domicile), expose à ces principaux effets biologiques :
– perte d'étanchéité de la barrière sang-cerveau (barrière hémato-encéphalique ou BHE),
– perturbation de production de la mélatonine,
– déstabilisation des régulations membranaires,
– dommages génétiques.

Pas sérieux !
Selon l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset), les ondes Wi-fi ne ferait courir aucun risque particulierà la population.

Pourtant, une cinquantaine de bibliothécaires parisiens se sont plaints de souffrir de migraines, de vertiges, de malaises, juste après l'installation de bornes Wi-fi dans leur environnement professionnel.
La mairie de Paris a d'ailleurs préfèré inactiver ces bornes permettant de se connecter à Internet sans fil.

D'autres pays européens ont déjà pris les devants puisqu'en Angleterre, des écoles ont été débranchées à la suite de plaintes de parents ; en Allemagne, les installations sont déconseillées dans les bibliothèques et les écoles, comme en Autriche, qui a retiré les bornes dans les écoles ; au Canada, deux grandes universités ont remplacé les bornes Wi-fi par des liaisons câblées et, en Belgique, on a abaissé les seuils des champs électromagnétiques.

mesures
à 1 m : 110 mV/ m
à 2 m : 55 mV/ m
à 5 m : 23 mV/ m

Solution
Désactivez l'émetteur Wi-fi de votre modem (se rapporter à la notice des appareils à la hot-line du fournisseur, ou au mode d'emploi ci-dessous) et raccordez-vous à Internet par des cables blindés "Ethernet", ou "USB".

Comment désactiver le Wi-fi
(Sources : membres de l'Association "Robin des Toits" et "Sitecom.biz")
Par défaut, la plupart des "box ADSL" sont livrées avec l'option Wi-fi activée, ce qui entraêne une source permanente d'ondes "type téléphonie mobile".
En désactivant votre réseau Wi-fi vous vous protégerez et n'en ferez plus "profiter" ses voisins qui risquent d'en souffrir dévèrement s'ils sont "électrosensibles".

cas général
- Tapez 192.168.1.1 (c'est l'adresse IP par défaut de votre box) dans la barre d'adresse (tout en haut) de votre navigateur Internet
- si nécessaire s'identifier (par défaut sur la Livebox le login et le mot de passe sont "admin" ; sinon consulter la documentation fournie, visitez les forum ou appelez votre service client pour connaêtre ce couple "identifiant/ mot" de passe défini par défaut)

- Trouvez l'option (la case à cocher généralement) Wi-fi à cocher ou à décocher selon les cas puis validez.

Chez Orange
"Livebox Inventel"
choisir "sécurité" dans le menu à gauche puis 802.11g et décocher le cas échéant la case "activer le Wi-fi" puis valider.

"Livebox Sagem"
sélectionner la rubrique : "Réseau sans fil" puis vérifier dans la rubrique "Service Réseau sans fil", s'il est activé, cliquer sur Désactiver, le cas échéant.
Ensuite Sauvegarder la configuration comme proposé.
Eteindre puis rallumer la livebox et attendre que l'initialisation soit terminée. Vérifier si le voyant correspondant au Wi-fi est bien éteint !

Chez Neuf-SFR-Cégétel
"Neuf Box"
Un onglet "Wi-fi" permet de désactiver facilement l'option.
Si vous avez un menu Hotspot (Neufbox, version 4) permettant de faire de votre modem un point d'accès Wi-fi communautaire, n'oubliez pas d'en désactiver l'option également.

"SFR Box"
(dernière génération de NeufBox)
Le "Hotspot" (Wi-fi communautaire) est activé par défaut, en plus du Wi-fi domestique ! Il faut donc les désactiver tous les deux, en s'identifiant sur le 192.168.1.1 (voir cas général)
Une fois sur l'interface SFR :
- appuyer 5 secondes sur voyant vert de votre SFR Box, (il se met à clignoter)
- cliquer sur "continuer" (le bouton passe du gris au rouge)
- cliquer sur l'onglet "Wifi"
- cliquer sur l'onglet "configuration"
- cliquer dans le choix O désactiver
- Cliquer sur "valider".
Le voyant Wifi de votre box doit s'éteindre.

"Neuf / Club Internet ADSL"
Faire la même manipulation que pour le "cas général" mais saisir "root" (sans guillemets) comme login et "clubadmin" (sans guillemets) comme mot de passe.

"Télé 2 Box"
Accéder au modem Tele2 (par le logiciel fourni - voir dans liste des programmes)
Cliquer sur "Réseau privé" (sur la liste à gauche)
Cliquer sur "Interfaces"
Le "Point d'accès sans fil" apparaêt (avec la configuration en dessous)
Cliquer sur "configuration" (en haut à droite souligné et en rouge)
Décocher la case "interface activée" (première ligne)
Valider puis vérifier que le voyant Wlan est bien éteint sur la Box.

"Darty Box"
Tapez 192.168.1.254 via le navigateur Internet
S'identifier si nécessaire (le login est "DartyBox" par défaut et le mot de passe "1234")
Choisissez le menu "Réseau Wi-fi" à gauche puis trouvez l'option "Wi-fi" et désactivez-là.
(vous authentifier en mode expert au besoin :
Nom de l'utilisateur : DBAdmin
Mot de passe : dbox1234

chez Free-Alice
"Alice Box"
2 méthodes de désactivation :
- Lancer le CD d'installation
Menu : "Accéder au menu d'options avancées"
Menu : "Réseau sans fil"
Décocher la case "Wi-fi activé" puis cliquer sur le bouton Sauver/ Appliquer
Attendre la mise à jour de la page web (se fait automatiquement)
Redémarrer l'Alice Box.

- Taper dans la barre d'adresse du navigateur l'adresse : 192.168.1.1 et saisir les login et password permettant d'accéder à l'interface.
Login : support
Password : dvguhbti
Menu de gauche : réseau sans fil : décocher la case "Wi-fi activé"
Menu de gauche : Gestion : Sauver/ redémarrer -> confirmer par le bouton au milieu de la page (reboot du modem)
La diode verte correspondant au Wi-fi (dernière à droite) reste éteinte.

"Freebox" (non HD)
S'identifier d'abord sur le site de Free.
Allez dans 'mon compte' puis saisissez l'identifiant qui est votre numéro de téléphone fixe et le mot de passe qui est celui qui vous a été communiqué dans votre courrier de confirmation d'abonnement (par défaut, sinon celui que vous aurez volontairement défini).
Une fois identifié(e), vous obtenez un menu à gauche comprenant : téléphonie, Internet...
Cliquer "Internet" pour obtenir le menu qui vous permet de choisir la "configuration du réseau Wi-fi" (un des premiers liens du menu).
Vous obtenez alors une page de configuration du Wi-fi dont la première case "Activer" en face de "Souhaitez-vous activer ce service" est à décocher pour désactiver le Wi-fi de la Freebox.
Un message vous indique de redémarrer le modem. (débranchez puis rebranchez l'appareil).

"Freebox HD"
L'option Wi-fi n'est pas activée par défaut sur les Freebox HD (V5).
Cependant, dses tests démontreraient que les Freebox à partir de la version 5 émettent des ondes Wi-fi malgré la non activation de cette option.
La solution par défaut étant donc de dévisser les antennes, pour les box V5 qui en sont équipées (ce qui n'est pas son cas, les antennes étant intégrées) pour atténuer un peu ces émissions Wi-fi non désirées.
Le mieux étant de ne pas utiliser cette Freebox V5 telle que fournie actuellement (firmware ne permettant pas la désactivation totale) et de demander son changement pour une version antérieure (jusqu'à la version 4).
Si vous avez un menu Freephonie permettant de faire de votre modem un point d'accès Wi-fi communautaire, veillez à en désactiver l'option également.

Autre solution : retirer la carte Wi-fi intégrée à la Box mais comme il s'agit d'une propriété de Free, cette manipulation annulerait la garantie de l'appareil tout en présentant un risque inhérent au bricolage d'un appareil électrique.

Chez Bouygues/ Numéricable
"Box Numéricable"
Il est écrit sous le modem comment le configurer :
Tapez 192.168.1.0 dans la barre d'adresse de votre navigateur puis saisissez l'identifiant "admin" et le mot de passe "password".
Un onglet "connexion sans fil" vous permet de désactiver l'option Wi-fi.

Indications complémentaires
- Vérifier dans tous les cas que le voyant correspondant du Wi-fi est bien éteint après votre désactivation.

- En cas de réinitialisation sur la plupart des box (non pas l'interruption électrique du modem mais via une opération de maintenance volontaire - parfois effectuée par un technicien venu à domicile), l'option Wi-fi est alors réactivée - par défaut.


Le téléphone portable (GSM)
Le spécialiste de l'apiculture, André Combe relate les expériences suivantes :
- un téléphone portable en service posé sur une ruche va tuer l'essaim qu'elle contient en quelques heures,
- l'installation d'une antenne relais à proximité de ruches, va les faire immédiatement déserter par les abeilles.
- quelqu'un qui s'approche d'une ruche avec un téléphone portable allumé va se faire immédiatement attaquer par les abeilles…
Le moins que l'on puisse conclure est l'effet perturbateur sur les être vivants de ces ondes pulsées.

l'exposition
En temps ordinaire, et selon les normes françaises, la majorité de la population est hors de portée des champs électromagnétiques d'intensité supérieure à la limite recommandée (mais comment se fait-il qu'elle soit si disproportionnée avec celle établie par la Russie ou la géobiologie ?).

rappel des normes
- normes françaises : 29,1 V/m (à 450 Mhz) 41,2 V/m (à 900 Mhz) 58,2 V/m (à 1800 Mhz) 61 V/m (au-delà de 2000 Mhz),
- les normes russes sont les plus strictes puisqu'elle mettent la limite à 3 V/m, quelque soit la fréquence !
- préconisation en géobiologie : 0,614 V/m, quelque soit la fréquence !

Il n'est cependant pas rare d'être exposé pendant un court moment à un champ dont l'intensité avoisine ou dépasse la valeur limite.

mesures à proximité immédiate de l'appareil
éteint : 0 mV/m
en appel : 1979 mV/ m
en conversation : 700 mV/ m

Conseils d'usage
- ne pas porter son portable directement sur le corps, même en veille, le poser loin de leur bureau et jamais sous l'oreiller, dans la poche avant du pantalon ou à la ceinture (l'appareil génital des adolescents est une zone particulièrement sensible aux ondes).
- en phase d'appel et de sonnerie, le tenir à bout de bras (un mètre du corps) en utilisant le haut-parleur ou le kit mains libres.
- limiter la durée des conversations à trois minutes maximum en la réservant aux coups de fil essentiels,
- communiquer plutôt par SMS,
- utiliser le téléphone fixe pour les longues discussions entre copains.
- limiter les appels en optant pour des forfaits bloqués.
- lire les notices avant d'acheter un mobile en choisissant de préférence un modèle à faible niveau d'émission "DAS" (Débit d'Absorption Spécifique),
- ne pas s'en servir de façon ambulatoire (en marchant par exemple)
- ne pas l'utiliser en voiture, train ou tout à bord de tout autre moyen de transport en mouvement.
- porter une oreillette filaire permettant de s'en servir à distance.


Les associations se mobilisent
Au nom du principe de précaution, plusieurs associations ont lancé une campagne s'opposant à l'usage du téléphone portable par les moins de 12 ans.

Une dizaine d'associations, dont Agir pour l'environnement, la FCPE et la Ligue de l'enseignement, se sont mobilisées contre l'utilisation du téléphone portable par les enfants, ce que n'ont pas encore osé faire les pouvoirs publics.

Elles réclament des règles plus strictes pour encadrer le développement de toutes ces technologies qui utilisent les ondes électromagnétiques, comme le portable, mais aussi la Wi-fi dans les bibliothèques pour jeunes, ou l'installation des antennes-relais près des écoles…

D'un autre côté, elles tentent d'avertir les parents car, si chez les petits de primaire, il est facile d'interdire le portable, pour leurs aênés collégiens chez qui il constitue, selon les sociologues, "un véritable rite de passage ", c'est plus délicat.
Ainsi, actuellement, 18 % des écoliers et 72 % des 12-14 ans possèdent un portable.

La règle d'or en matière de prudence est donc "le plus tard possible !"
Car jusqu'à 15 ans, le cerveau en phase de maturation, est encore sensible aux ondes…


Le DAS (Débit d’Absorption Spécifique)
Caractérise la puissance absorbée par une unité de masse de tissus du corps humain.
On l'exprime en "Watt par kilogramme" (W/Kg).
Cette valeur quantifie le niveau d’exposition maximale (lorsque l’équipement émet à pleine puissance) de l’utilisateur aux ondes électromagnétiques.
S’agissant des téléphones mobiles, la réglementation française, fixée par le décret n°2003-961 du 8 octobre 2003 et par la Directive RTTE impose un DAS dans la tête inférieur à 2 W/kg.
Pour les autres équipements terminaux (non utilisés à la tête) la réglementation impose un DAS au tronc inférieur à 2 W/kg et de 0,08 W/kg pour le corps entier.
Cette valeur limite est à un niveau 50 fois plus faible que celui à partir duquel des effets biologiques indésirables ont été observés.
Une marge de sécurité confirmée par plusieurs organisations internationales (OMS, Commission internationale de protection contre les rayonnements non-ionisants - ICNIRP, entre autres).

A savoir
- Même s'il est d'usage de ne s'intéresser essentiellement qu'au DAS de nos téléphones portables directement en contact avec notre corps et à proximité immédiate de notre cerveau (sauf équipements spécifiques), tout appareil communicant sans fil est concerné : tablette, ordinateur portable, clé 3G...
- Quand on téléphone en 3G, on est 100 fois moins exposé qu'en 2G !
- l'utilisation d'un kit filaire diminue d'environ 400 fois l'exposition aux ondes subies par le cerveau.


Comment est établi le DAS ?
De façon expérimentale (en labo) en mesurant le champ électrique induit dans un modèle synthétique rempli d’un liquide dont les propriétés électromagnétiques sont sensées être équivalentes à celles des tissus biologiques (mélange de produits chimiques simulant le comportement diélectrique de ces tissus aux différentes fréquences d’utilisation courante) constituant la tête.
Cela s'effectue en 2 étapes :
- L'appareil est placé, en émission maximale, dans plusieurs positions nominales d’utilisation. La mesure est effectuée sur un fantôme dont la surface interne représente la forme du visage.
- autre mesure réalisée à l’aide d’une sonde de champ électrique qui fournit le module des trois composantes du champ dans le modèle suivant un maillage régulier de celui-ci.

Par précaution, avant toute série de mesures, la calibration du banc est doublement contrôlée d’une part par la mesure d’un téléphone de référence et d’autre part par la mesure d’un dipôle calibré sur fantôme plan. Des contrôles supplémentaires sont également réalisés quotidiennement (propriété des liquides…).
S’agissant des équipements terminaux pouvant être utilisés près du corps, la mesure de DAS est identique à celle d’un téléphone mobile à l’exception de la forme du fantôme qui change pour devenir un fantôme plan représentant le corps.

Que penser des dispositifs anti-ondes ?

Dans son rapport 2013, l'ANSES indique qu'après une étude établie sur 13 dispositifs et plusieurs téléphones mobiles, aucun effet probant de ces dispositifs n'a été constaté sans une altération des performance du tléléphone mobile.


Les antennes-relais en accusation
Les cas se multiplient qui mettent en relation la présence d'antennes d'émission GSM et de troubles de santé importants, notamment sur les enfants.

des pouvoirs publiques obtus !
Cela ne date pas d'aujourd'hui, puisque :
- dans les années 1990 Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines), avait défrayé la chronique après le décès de deux élèves de l'école Bizet sur laquelle étaient installées deux antennes relais ; tous deux étant touchés par une même tumeur du tronc cérébral très rare chez les enfants.
Les experts du ministère de la Santé avaient conclu à une simple "variation liée au hasard ".

- A Ruitz, dans le Pas-de-Calais, 2 autres cas de cancers cérébraux avaient été observés en 2005 dans l'école maternelle de la commune, située à proximité d'un pylône de téléphonie mobile.
Là enore, l'hypothèse d'une surexposition significative de la population à ces champs électromagnétiques avait été écartée par les autorités sanitaires, les mesures relevées ayant montré des niveaux faibles, inférieurs même aux limites réglementaires.
A l'Institut de veille sanitaire, on l'avait mise sur le compte de la coïncidence statistique et de "la distribution aléatoire des cancers sur le territoire ".

- Dernièrement, à l 'école du Belvédère de Draveil (Essonne), 4 cas de cancer de type leucémies parmi les élèves et 5 parmi les parents d'une école bordée d'antennes-relais installées à quelques centaines de mètres de là, relancent la polémique sur les dangers des émissions électromagnétiques...

Ainsi, partout en France, pas un jour sans que des parents d'élèves, des associations ou des municipalités en colère réclament le démontage d'une antenne-relais. Car le lien entre ces pylônes de téléphonie mobile et la survenue de cancers pédiatriques semble de plus en plus établi : maux de tête, saignements de nez observés chez les enfants...

Un plan d'action a dernièrement été mis en place par le gouvernement, mais qui n'a toujours pas pris la mesure du problème sanitaire que présentent les technologies de communications sans fil.

des opérateurs têtus !
L'Association française des opérateurs mobiles (Afom) affirme à l'envie qu'il n'existe aucun danger à vivre près d'une antenne-relais, en arguant qu'il n'y a pas plus de raisons de se méfier des antennes de téléphonie que des antennes de télévision et de radio, qui pourtant émettent dans des fréquences voisines !

Les scandales sanitaires passés enseignent pourtant que l'on ne peut pas négocier en matière de santé publique et que les "décideurs " ne devraient pas sous-estimer les suites judiciaires susceptibles de sanctionner tout manquement à la protection sanitaire de la population.

des associations tenaces !
Agir pour l'environnement, Priartem et Robin des toits ont fait de cette menace raison d'exister !
Ils s'indignent qu'aucune étude d'impact sanitaire préalable n'ait été réalisée avant la commercialisation de ces technologies (antennes-relais, mais aussi portable, Wi-fi, Wi-max, UMTS…) et exigent qu'aucune antenne ne soit tolérée sur une école ou tout autre établissement accueillant des enfants.
Ils souhaitent également la mise en place d'une réglementation qui définira une valeur limite d'exposition à 0,6 V/ m, au lieu des 41 et 58 Volts actuels, seuil jugé en France sans danger sur la santé, alors que dans d'autres pays, cela correspond à une exposition importante (Suéde, Russie...)
Et que les geobiologues sont unanimes à considérer comme une menace sanitaire grave !


Propositions au gouvernement
L'Association Nationale "Robin des Toits" a fait ses propres propositions pour normaliser l'usage des hyper-fréquences.

signataires de ce plan d'action
- Le CRIIREM (Centre de Recherche et d'Informations Indépendantes sur les Rayonnements Electromagnétiques)
- Pr Pierre Le Ruz (Dr en Physique et en Physiologie animale, Expert au Parlement Européen, Consultant au Conseil de l'Europe et Président de la Commission Scientifique du Criirem)
- Pr Olle Johansson (Professeur associé de l'Unité expérimentale de Dermatologie, Dpt de Neuroscience, Institut Karolinska, Stockholm - Suède)

Préambule
- Les propositions qui suivent doivent faire l'objet d'une loi et de décrets afférents et non d'une charte qui solliciterait l'agrément d'intérêts économiques privés.

- Les fonds prévus pour engager "une étude comparative sur les mesures prises par les états membres de l'UE concernant les valeurs limites d'exposition du public des ondes radio-électriques ", doivent plutôt être affectés à une large campagne d'information en direction du public notamment des femmes enceintes et des parents. Cette campagne devra être équivalente à celles que le gouvernement a réalisées sur les méfaits du tabac et de l'alcool.

Propositions hyper-fréquences et santé
1. Le seuil d'exposition du public aux hyper-fréquences pulsées est fixé à 0,6 V/ m, seuil maximal, et non moyen, indépassable. Ce seuil maximal d'exposition du public permet la compatibilité entre la technologie de la téléphonie mobile et la santé publique. Un moratoire est appliqué sur l'UMTS (ou 3G).

Ce seuil d'exposition correspond à la position consensuelle de tous les scientifiques indépendants (non rémunérés directement ou indirectement par les industriels du secteur). Il a déjà été appliqué en Italie (Toscane), en Autriche (Salzbourg), Espagne (Valencia). Cette proposition avait été retenue dans les engagements du Grenelle de l'Environnement. Elle a fait l'objet de 4 propositions de loi en 3 ans, Nathalie Kosciusko-Morizet a été l'initiatrice de l'une d'entre elles. La dangerosité de l'exposition aux antennes-relais a été prouvée par le Rapport international BIOINITIATIVE, récapitulatif de plus de 1500 travaux. Elle a également été établie par plusieurs enquêtes épidémiologiques en Autriche (G. Oberfeld, 2008), Allemagne (H. Eger et al. 2004), en Pologne (A. Bortkiewicz et al., 2004), en Israël (D. et R.Wolf 2004) et en France (R. Santini, 2002).
S'agissant de l'UMTS, il n'existe pas de réel marché à ce jour. Cette technologie a fait l'objet d'une étude initiée par le gouvernement hollandais (TNO) et qui établit sa nocivité.

2. Le téléphone portable est interdit à la vente aux enfants de moins de 14 ans.
car il est cancérigène (cf. étude internationale Interphone coordonnée par le CIRC, agence de l'OMS) . Alors que la vente d'alcool est interdite aux mineurs de moins de 16 ans, il serait irresponsable de laisser des enfants avoir accès à un produit cancérigène. L'interdiction du portable aux enfants et adolescents est demandée par les groupes officiels d'experts sur les CEM des gouvernements britannique et russe, par les experts du rapport BioInitiative et relayée en France par l'Appel des 20 (groupe scientifique composé d'une majorité de cancérologues).
Seul le téléphone fixe filaire ne présente aucun risque sanitaire.

3. L'électro-hypersensibilité - EHS (syndrome d'intolérance aux champs électromagnétiques) est reconnue comme handicap lié à la pollution électromagnétique. Toutes les conséquences en seront tirées au niveau des services de l'Etat.

4. Tous les accès internet ADSL seront réalisés en connexion filaire ou fibre optique, seules technologies ne présentant aucun risque sanitaire.

Ces solutions sont techniquement fiables et supérieures aux liaisons sans fil et sont seules capables de supporter les applications technologiques à venir. Le WIMAX et le Wi-fi sont donc abandonnés car comportant des risques sanitaires, handicapant les personnes souffrant d'EHS. Elles sont par ailleurs économiquement hasardeuses car techniquement limitées. L'abandon du Wi-fi est recommandé par les gouvernements allemand, autrichien et britannique près des zones dites sensibles, les écoles notamment.

5. Toutes les mesures de champs électromagnétiques seront réalisées par des sondes de mesures en continu en liaison avec des experts indépendants et les populations concernées. Ces mesures ne pourront jamais être mandatées par les opérateurs eux-mêmes.

Les mesures de champs électromagnétiques ont fait l'objet de manipulations (cf. jugement du 2 mai 2006 TGI Paris sur les collusions et manipulations des mesures par des bureaux de contrôle agréés COFRAC).

6. Les points de vente de téléphones portables et DECT (téléphone sans fil domestique) devront afficher clairement le DAS. Les portables ne pourront être vendus sans kits piéton filaires.



Les recherches de l’ARTAC

L'intolérance aux champs électromagnétiques
«Il y a six mois, je n’avais pas connaissance de ce que de nombreux malades appellent l’‘‘électrohypersensibilité’’» indique le Pr Dominique Belpomme, président de l’ARTAC.
«Après avoir examiné une quarantaine de ces personnes, je me suis rendu compte qu’il s’agissait de vrais malades, comme le sont ceux que je soigne à l’Hôpital Européen Georges Pompidou». Au nom du principe de précaution, les pouvoirs publics doivent donc prendre rapidement des mesures sur l’utilisation des technologies sans fil, principalement les antennes-relais, le Wi-fi et la téléphonie mobile.
Mais au-delà, il faut prendre en charge les personnes qui souffrent, et prévenir la population des risques qu’elle encourt, surtout les enfants et les femmes enceintes, car le fœtus est très vulnérable. L’électrosensibilité est reconnue en Suède et considérée comme un «handicap».

«En réalité, il faut distinguer l’intolérance aux champs électromagnétiques de la sensibilité aux champs électromagnétiques (‘‘électrosensibilité‘‘)», ajoute le Pr Belpomme. «Le syndrome d’intolérance que nous venons de décrire au plan des symptômes permet l’établissement d’un diagnostic, tandis que la sensibilité aux champs électromagnétiques est caractérisée par des paramètres biologiques, toxicologiques et/ou génétiques expliquant que certains sujets sont malades et d’autres pas. Le syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques pourrait concerner un beaucoup plus grand nombre de nos concitoyens ».
C’est pourquoi l’ARTAC mettra donc tout en œuvre pour défendre ces malades aujourd’hui ignorés par les pouvoirs publics, mettre au point des méthodes préventives et thérapeutiques, et tenter de prémunir nos concitoyens contre les graves problèmes de santé publique qui s’annoncent.

Le syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques
Sur la base de 88 dossiers médicaux, l’ARTAC a établi une description du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM).
Deux phases sont distinguées :
- tout d’abord, un stress cellulaire consistant en céphalées, troubles neurologiques touchant la sensibilité superficielle et profonde, et troubles de l’attention et de la concentration ;
- puis vient une période d’état, caractérisée par une atteinte du système nerveux central qui se manifeste par la survenue d’une triade symptomatique consistant en insomnie, fatigue et dépression.

Ces symptômes peuvent s’associer à des troubles du comportement – irritabilité, agressivité, voire tendances suicidaires.

Au niveau du diagnostic, le SICEM se caractérise par plusieurs critères : l’absence d’une autre pathologie explicative des symptômes, un échodoppler cérébral pulsé anormal qui témoigne d’une vitalité nettement diminuée d’un très grand nombre de régions du cerveau et l’augmentation dans le sang de plusieurs protéines de stress cellulaire dont la protéine HSP27.
En outre, on a pu mettre en évidence chez la moitié des malades une baisse dans les urines du taux de mélatonine, appelée aussi ‘‘hormone des décalages horaires‘‘, car elle assure au plan chronobiologique le bon fonctionnement de notre horloge interne, qui nous permet de vivre en harmonie avec les rythmes jour et nuit de notre environnement.
Or c’est à peine en quelques mois que l’ARTAC a pu décrire ce syndrome et surtout en définir les critères du diagnostic, grâce à une équipe de médecins et de biologistes qu’elle a constitué.
Le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine en 2008, rejoint l’ARTAC Pour cette description, l’ARTAC a bénéficié de l’expérience du Dr Béatrice Milbert, médecin généraliste, du Dr Nehmetallah Awaïda, biologiste, du Dr Philippe Lebar, radiologue, et de Madeleine Madoré, pharmacienne: des professionnels de santé fidèles au serment d’Hippocrate qui stipule qu’un médecin doit tout faire pour soulager les souffrances…
A partir de ce noyau dur, l’équipe de recherche constituée et coordonnée par l’ARTAC au plan international a apporté son soutien scientifique. En matière de champs électromagnétiques, cette équipe comprend le physicien Pierre Leruz (Rennes), le Pr Olle Johansson du Karolinska Institute (Suède) et le Pr Lennart Hardell, épidémiologiste (Suède), qui travaille en relation étroite avec les chercheurs de l’ARTAC depuis de nombreuses années.
Enfin, le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine 2008, a rejoint l’ARTAC en acceptant de présider son Conseil Scientifique et d’éclairer les travaux de l’association grâce à sa précieuse collaboration.

Ainsi cette équipe a-t-elle mis en place un protocole de recherche qui permettra de mieux comprendre les mécanismes biologiques du SICEM.
Dans un premier temps, des tests de provocation vont être effectués : des malades seront soumis à des champs électromagnétiques afin de mesurer les réponses induites au niveau cérébral.

L’AFSSET sollicite l’expertise de l’ARTAC
En 2005, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (AFSSET) avait déjà publié un rapport sur les téléphones portables qui ne permettait pas d’établir l’existence d’un risque sanitaire.
L’AFSSET doit à nouveau produire un rapport en juillet prochain, et dans ce cadre, a auditionné le Pr. Belpomme le 28 janvier dernier.
Trois heures d’exposé pendant lesquelles le cancérologue a insisté sur les dangers potentiels du Wi-fi et des antennes-relais, sur la nécessité d’établir un diagnostic ferme chez les personnes souffrant de SICEM et d’assurer un suivi étroit, car ces personnes pourraient être à risque de maladie d’Alzheimer et peut-être aussi de cancers.
Le Pr Belpomme a aussi donné l’explication des symptômes cérébraux et en particulier de l’intolérance à la lumière causés par les champs électromagnétiques : ils seraient dus à l’existence des millions de magnétosomes, sortes de micro-aimants présents dans le cerveau et ses enveloppes (les méninges) qui, sous l’effet des champs électromagnétiques, provoqueraient des réponses biologiques délétères.
Espérons que le nouveau rapport de l’AFSSET sera basé sur des considérations scientifiques objectives, sans parti pris, et donc reviendra sur les conclusions de son précédent rapport de 2005.

Un problème de santé publique croissant
Les données scientifiques sont de plus en plus nombreuses sur le sujet. Saluons ici la qualité du rapport Bioinitiative ayant réuni les meilleurs experts internationaux.
L’ARTAC avait déjà considéré les recherches sur les champs électromagnétiques comme essentielles grâce à des travaux réalisé en collaboration avec le Pr Lennart Hardell*. Aujourd’hui, la mobilisation du corps médical s’intensifie, en particulier depuis l’appel des vingt médecins (dont des cancérologues), autour du Pr David Servan Schreiber, concernant l’utilisation des téléphones portables.
La Ministre de la Santé a confirmé qu’elle organisera prochainement un colloque sur les ondes électromagnétiques. Espérons que les pouvoirs publics tiendront compte de cette mobilisation du corps médical, en prenant les mesures qui s’imposent face au développement aveugle de ces technologies en matière de Wi-fi et d’aménagement du territoire concernant les antennes-relais.

Il ne s’agit pas de tout remettre en question, mais seulement d’imposer des normes de régulation, respectueuses de la santé de nos concitoyens et surtout des plus vulnérables de notre société.

* Belpomme D., Irigaray P., Hardell L., Montagnier L., Epstein S.S., Clapp R., Sasco A.J. The multitude and diversity of exogenous carcinogens. Environ. Research, 105 (2007) 414–429. Belpomme D., Irigaray P., Hardell L. Electromagnetic fields as cancer-causing agents. Environ. Research, 107 (2008) 289–290.
D'après NAP n°29 - Février 2009.



Bouygues Telecom condamné à démonter une antenne relais
Dans ce jugement, rendu le 18 septembre 2008, le tribunal de grande instance (TGI) de Nanterre (Hauts-de-Seine) a ordonné, "pour la première fois" en France, le démontage d'une antenne relais de téléphonie mobile au nom du principe de précaution, estimant qu'il y avait un risque potentiel sur la santé des riverains. Une décision qui pourrait faire jurisprudence.
Cette antenne relais de téléphone mobile à Tassin-La-demi-Lune (Rhône) dans la banlieue lyonnaise devra donc être démontée et l'opérateur de téléphonie mobile devra, en outre, verser 3.000 euros à chacun des trois couples, riverains de l'antenne incriminée, pour "exposition à risque sanitaire". C'est un tournant dans le dossier des risques sanitaires de la téléphonie mobile, puisque le tribunal constate qu'il y a un débat scientifique sans donner raison à l'une ou l'autre des parties", et a motivé sa décision sur le fait que "comme ce débat existe, cela signifie qu'il y a un risque potentiel sur la santé des riverains donc il y a lieu d'appliquer le principe de précaution".


Mesures Hyper FréquencesDiagnostic HyperFréquences
Pour évaluer les risques associés à votre lieu de vie, faites diagnostiquer votre habitat :
- Mesure de l'ambiance extérieur (antennes relais),
- Mesures en intérieur, pièce par pièce (Frq 450 Mhz - Frq 900 Mhz - Frq 1800 Mhz - Frq > 2000 Mhz).

diagnostic dans l'habitat
- mesures des différents appareils hyperfréquences (téléphone sans fil de type DECT, téléphone portable, système Wi-fi / Bluetooth, four micro ondes...
- outil de mesure : HFA - 3 et/ou HFR - 4 (WiMax)
- identification et principe de précaution en fonction du résultat des mesures relevées,
- solutions pour minimiser ou éviter ces nuisances dans votre habitat.

Diagnostic sur votre terrain :
- durée : environ 1 heure,
- recherche de pollution hyperfréquence : antenne relais, voisin radio amateur, radio FM locale.
- fourniture de la carte des émetteurs recensés à ce jour sur la zone…
- outil de mesure : HFA - 3 et/ ou HFR - 4,
- solutions pour minimiser ou éviter ces nuisances dans votre habitat,
- photos éventuelles pour une meilleure compréhension du rapport.


Forum
Patch de protection contre les ondes nocives ?
Connaissez-vous ces patch qui sont sensés pouvoir nous protéger des ondes générées par les portables, les GPS, le Wi-fi... pour environ 30 € l'unité ?
Ils sont vendus par des VDI directement au client.


Réponse
Ce type de patch présenté comme "hautement technologique" n'est qu'une pastille autocollante composé d'un dispositif multi antennes en cuivre (12 antennes montées en série).
Il se colle sur la façade arrière extérieure de votre téléphone portable, au plus près de son antenne.
Le principe avancé par ses promoteurs est une compensation électromagnétique des ondes produites par le téléphone portable selon la technique de leur déphasage à 180 °.
Même s'il est en effet possible de déphaser en laboratoire des ondes selon ce principe, le simple fait de coller cette mini-antenne au dos de son portable pour en arrêter les rayonnements nous laisse perplexe sur son efficacité réelle !
Et en l'admettant, cela ne vous protégerait de toute façon aucunement des ondes électromagnétiques ambiantes de votre environnement.



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Les POLLUANTS DOMESTIQUES et leurs CONSEQUENCES sur la SANTE...